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dimanche 13 février 2011

Parlons un peu de nos galères

 

Pour les lecteurs fidèles de ce blog, nous avons parfois peur de donner l’impression que nous vivons depuis le départ de cette aventure dans le pays de Oui-Oui où tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil. Autant nous adorons ce périple, autant nous ne sommes pas à l’abri des galères....nous aussi - Voilà donc un petit florilège des galères et autres casses que nous avons enduré depuis notre départ de France:
- Italie / Bellagio : Les bloc-portes externes nous lâchent/ cache du store aussi
- Danemark : Mega-enlisement avec dégradation des vannes sortie des eaux sales (ie : le caca) ; bilan une fuite très odorante jusqu’à Buenos Aires où nous avons pu réparé après avoir trouvé de façon inespéré la fameuse pièce, apparemment plus fabriquée, dans un garage Sicilien
- Route 40 : déconnexion des senseurs de freins / amortisseur arrière gauche flingué
- Ushuaia : crevaison du pneu arrière et fonctionnement intermittent de l’escalier externe et du frigidaire sur position gaz
- Passage chili : Panne électrique générale dû à un fusible qui a sauté (pas de bol, c’est au moment où le garde douanier vient pour passer en revue Popol en vue de trouver des produits interdits ; du coup entre l’absence de lumière et l‘escalier en carafe, elle a cru que nous souhaitions lui compliquer la tâche et à pris un malin plaisir à fouiller Popol de fond en comble) - fuite du liquide de refroidissement/ pierre coincée entre les pneus arrières
Jusqu’ici nous avons pu faire face et réparer Popol – Mais il est évident que nous sommes devenus vigilants sur les pistes à prendre et n’hésitons pas à faire un détour sur de l’asphalte quand c’est possible.
N’oublions pas aussi les gastros de Maxime et Britt, le bélier qui a chargé Carla, le propriétaire de camping qui me barre l’accès à ses toilettes pour ne pas que j’y vide la boite à c…., la ballade à cheval de 7 heures sous la pluie, les bivouacs en ville à côté d’un terrain de basket où pas de bol deux passionnés décident de travailler leur shoot jusqu’à pas d’heures, le vélo pliable qui tombe en pièce, les laveries qui vous rendent le linge deux tailles en dessous et tout rose, les sanitaires où il ne faut surtout pas toucher les parois car Monsieur Propre à visiblement fait la grève ces six derniers mois, le remplissage des réservoirs d’eau qui dure des heures en raison d’un débit aussi puissant qu’un pipi de chat, …bref rien de bien grave et autant de bons souvenirs dans la plupart des cas.
Posted by Picasa

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